Leylal Fernandez kneels just above the Indian Wells sign on a court.

Photo : @leylahfernandez

Lorsque l’hiver canadien s’éternise, il n’est pas rare que de nombreux citoyens du Grand Nord rêvent de suivre les oiseaux et de s’envoler vers le sud. Pour les amateurs de tennis, cette évasion consiste souvent à assister à l’Open BNP Paribas d’Indian Wells, en Californie.

Eh bien, cette année, le tournoi a lieu en octobre, alors qu’il fait encore beau dans la plupart des régions du Canada, plutôt qu’en mars. Cela ne veut toutefois pas dire que les Canadiens ne rêveront pas de la Californie en regardant leurs joueurs préférés s’affronter sous le soleil du désert.

Le paradis du tennis

Que ce soit au printemps ou à l’automne, Indian Wells est l’un des plus beaux sites de la planète pour un tournoi de tennis.  

Vous voulez des preuves ? En voici :

Le swag des « servebots »

Cet été, lors de l’Omnium Banque Nationale de Toronto, Reilly Opelka a alimenté des discussions à propos de l’expression « servebot » souvent utilisée pour le décrire, lui ainsi que John Isner et d’autres puissants serveurs.

Cette expression étant de plus en plus répandue, un produit dérivé est apparu à Indian Wells.

Et même Olpelka s’en est mêlé…

Queen B(ianca)

Notre Canadienne Bianca Andreescu est de retour à Indian Wells après son triomphe de 2019. Et une belle surprise l’attendait !

Andy Murray, avec classe

La semaine dernière, alors qu’il disputait le tournoi de San Diego, Andy Murray a décidé de s’amuser un peu avec sa pilosité, ce qui a immédiatement attiré des comparaisons avec une personnalité bien connue.  

Murray a ensuite tenté de tirer profit de sa popularité sur Twitter pour lancer un appel qu’il espère probablement que sa femme ne verra pas.

Même sa mère a ajouté son grain de sel.

Au bout du compte…

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