Selon Yanik Deschênes, le tennis n’a pas seulement amélioré sa condition physique et mentale, mais il l’a également transformé en une meilleure personne, un meilleur père, un meilleur conjoint et un meilleur employeur. « Cela a un effet d’entrainement sur toutes les sphères de ma vie. C’est pour ça que le tennis c’est presque la chose la plus importante dans ma vie », a-t-il expliqué.
Des mots forts de la part de quelqu’un qui a abandonné ce sport à l’adolescence parce qu’il n’en retirait aucun plaisir.
« À l’âge de 30 ans, j’ai recommencé à jouer, cette fois avec une autre perspective. Ce n’est pas juste gagner ou perdre un match, il y a différentes facettes qui font que c’est un beau projet de vie. Jouer au tennis, c’est un chantier où tu ne cesses jamais d’apprendre. »
M. Deschênes ne se contente pas de frapper des balles dans le cadre d’activités sociales. En effet, il participe à des compétitions de haut niveau sur le circuit de tennis des maîtres de l’ITF. Il a d’ailleurs représenté le Canada aux Championnats du monde individuels à Lisbonne, au Portugal, cet été, dans la catégorie des 50 ans et plus. Il est également un donateur, et chaque don comporte sa propre histoire. Pour lui, donner à Tennis Canada ne se résume pas à former des champions. Il s’agit de bâtir des collectivités plus saines et plus fortes, dans lesquelles chaque enfant a la chance de prendre une raquette et de découvrir ce que ce sport peut apporter à sa vie.
Cet été, M. Deschênes a eu la chance de partager le court avec Andy Tchinda Kepche, un jeune athlète du Centre national de tennis (CNT) de Tennis Canada à Montréal. Ce fut plus que de simples échanges de balles, ce fut un aperçu de l’avenir que ses dons contribuent à créer. Chaque année, des dons comme le sien permettent à des dizaines d’athlètes prometteurs du CNT de bénéficier d’un encadrement, d’installations et de possibilités de compétition de classe mondiale. Au-delà du niveau élite, la générosité des donateurs finance des programmes qui initient plus de 1,25 million d’enfants au tennis partout au Canada, garantissant ainsi que les prochains Andy, Bianca ou Félix puissent amorcer leur parcours, peu importe d’où ils viennent.
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M. Deschênes sait que redonner à un sport qui a tant contribué à sa qualité de vie, tant sur le plan personnel que professionnel, permettra à encore plus de personnes, en particulier à la jeune génération, de profiter des nombreux bienfaits du tennis.
« Je donne pour le tennis parce que ça me rend heureux. C’est un beau cadeau à faire à la relève parce que, grâce au tennis, les jeunes vont avoir développé des habitudes de vie beaucoup plus saines, explique-t-il. Ils vont être capables de vivre avec de la résilience, ils vont assurément être plus humbles, ils vont savoir les bienfaits de l’activité physique, de la discipline et de la concentration. »
L’histoire de M. Deschênes illustre comment le tennis transforme des vies, sur et en dehors des courts. En soutenant Tennis Canada, vous contribuez non seulement à nourrir les rêves des futurs champions, mais aussi à faire progresser notre mission : inspirer l’accès au tennis en ouvrant les courts à tous les enfants, promouvoir l’équité en créant des milieux sécuritaires et inclusifs où les filles et les nouveaux arrivants peuvent s’épanouir, et bâtir un héritage en formant les champions et les leaders de demain. Ensemble, nous pouvons faire du tennis un sport pour tous.
Le tennis a apporté beaucoup de joie dans la vie de Yanik et son don permet de transmettre cette joie. Joignez-vous à lui pour bâtir un héritage où chaque enfant au Canada aura la chance de sauter sur un terrain et de s’épanouir.